This is it

En Languedoc, un pas derrière la frontirère franco-provençale, il était là. Lui, le meilleur, le numéro un, le boss, le champion du monde.

Citation :

J'ai nommé, Titi.
Comme dirait quelqu'un que je connais très bien : Titi' prend le CC pour des saucisses de Toulouse.

Peuple Provençal, c'est votre Idole qui vous parle.
Mardi passé, alors que je m'apprêtais à affronter l'armée Provençale à la frontière franco-provençale, deux boulets me lâchaient à Nîmes, à savoir Topaze et Polchtron.
C'est donc avec mon frère que j'ai décidé de venir défier l'armée sur Arles. Les vilains du CC qui voulaient buter l'vilain Titi.
Sauf qu'une fois arrivé à Arles ! Toujours aucune armée en vue ! Même pô d'Hersende ni d'Comte ! Rien !
J'me suis déplacé pour rien, même pas une gorge à couper... Alors pour la peine, j'ai dû frapper un flic. On s'contente de ce qu'on a.

J'ai donc, tranquillement, repris ce qui m'appartenait dans ma propriété, avant de repartir mercredi après-midi, toujours aussi tranquillement vers Arles. Evidemment, je n'ai rencontré aucune armée, si ce n'est les maréchaux qui se cachaient derrière les buissons à la sortie d'Arles.
D'un rictus moqueur, je les saluai. Mon rang l'obligeant.


Vous l'aurez deviné, je suis donc très déçu : la lâcheté provençale est bel et bien un fait, une constation. Et ça s'avère vrai ici.
Ouai'p, les Provençaux sont des lââââches ! Avec les Conseillers et les soldats ! Arf ! Ces personnes qui vous foutent hors d'une taverne parce qu'ils sont dits tavernier mais qui n'osent pas venir dire bonjour sur un noeud.

Enfin, maintenant que je sais que vous êtes des faibles, je ne veux plus de vous : c'est un principe, les forts n'attaquent jamais les faibles. Les grands n'attaquent jamais les petits.

PS : Quel est l'avis du CC là-dessus ?

Tu es allé bien trop vite, le Conseil Comtal a juste ébauché la réflexion de savoir si l'on faisait quelque chose à ton encontre... à venir, la question "oui mais quoi", les idées, les discussions, enfin, le vote... on sera fixé d'ici trois ou quatre semaines...