Arles

les paroles de cet hommes sont vraiment incompréhensibles!

bref

ALBERTO a écrit:

Mais, entre nous Santi, si quelqu'un dit que tu n'es pas dangereux, que tu es un bon Provencal, étc.

Te sentirais-tu offensé?

Surtout après avoir organisé la prise d'une ville provençale !

Allez parce que je sais que vous aimez entendre ma voix, si si, ne le niez pas, ce sont mais paroles que vous voulez entendre. Mais je vous l’ai déjà dit, j’assume mes paroles, même si vous ne savez pas ce que ça veut dire.

Alors, j’ai dit exactement les choses suivantes, je me cite, ce n'est pas illégal hein!


"Après pour Santi, c'est une brebis égarée, j'en conviens. Un vile brigand, j'en conviens aussi. Mais ce n'est en rien une menace pour la Provence. son action à lui était plus un acte de vengeance personnelle qu'autre chose, et je ne suis même pas sure qu'il aurait vidé les caisses. D'ailleurs, il doit faire un don à la mairie lors des prochaines élections. Alors il ne faut surtout pas lui excuser ses erreurs, mais il faut arrêter de le prendre pour l'ennemi public numéro 1 de la Provence."

et

« Dans tous les cas, oui, je persiste à dire que Santi n'est pas dangereux pour le Comté. Je ne cautionne pas son acte, je le trouve largement réprimandable et condamnable mais il ne cherche pas à nuire au comté juste à se faire remarquer. »


edit croisé

Etonnant comme les missives accourent parfois. Ces temps-ci, il y en avait tellement qu'ils mangeraient du pigeons sur l'Estrella... fièr foncet filant droit où le vent le mène. Le capitaine du foncet se devait donc de répondre, et elle le fit à Herrick. le pigeon vola, vola vola vola...

Citation :

Herrick,

Dans la vie, il semble beaucoup de choses.
Il semble que certains croient pouvoir nous manipuler, or personne ne le peut.
Il semble que certains croient pouvoir se jouer de nous, or nous ne sommes pas nés de la dernière pluie.
Il semble que certains croient pouvoir nous manquer de respect impunément, et nous finissons toujours par leur donner des leçons de politesse.

En matière de politique, nous ne sommes pas nés de la première pluie. Et même si nous ne sommes pas au courant de tout, nous sentons le vent venir.

Arles ... Arles, nous y avons rencontré beaucoup de monde, cela est un fait, et de notoriété publique. Arles est vivante, avec ces habitants hauts en couleurs, et ce, même si nombreux sont ceux qui jouent les arlésiennes.

Il y a des mois de cela, nous avons fait la connaissance de Santi. Personnage à l'image des arlésiens : haut en couleur.

Le Lyonnais Dauphiné est une terre dictatorielle. Lors de mes voyages, je vois les autres contées, et certes, je ne suis pas au courant de tout, mais je peux t'assurer que je n'ai rien vu de tel que ce qu'il se pratiquait en LD. J'y pratique la politique depuis fort longtemps maintenant, et j'en connais nombre de rouages, de manipulatons, de codes ... Bref, il en est venu diverses discussions, fort variées, et nous amenant à lier connaissance avec diverses personnes ... dont Santi.

Comment un homme pouvait-il accordé quelque importance, et surtout quelque incompréhension à ces paroles ?

Citation :

En échange de quelques écus sonnants et trébuchants, vous aidez/permettez une future guerre civile en LD.

Mais j'aimerais bien que ce soit vous qui donniez les explications, genre : pourquoi ? Dans quel but ? Quel intérêt ? Pourquoi dire quelques jours plus tôt que vous ne voulez pas attaquer le LD, alors que depuis plusieurs semaines, vous magouillez une fois de plus en sous-sol pour préparer un rebélion contre le LD, dont Arles serait une grande aide.

Alors vi, j'ai besoin qu'on m'explicationne un peu quoi.

Que signifient ces paroles ? Là aussi, il n'y eut que manipulations des faits. Je crois que Santi aimerait devenir un maitre en matière de manipulations, mais il a encore beaucoup à apprendre. Nous n'étions pas venus pour une guerre, et le foncet a bel et bien été commandé à titre privé pour du commerce. totu comme notre proposition de l'époque concernant votre port. Notre investissement pour Arles aurait été réel .... si vous aviez eu le tact de nous prendre au sérieux. Ce fut votre première erreur.

donc, nous avons continué notre vie en Ld, avec leurs aléas politiques, qui ont conduits à notre banissement. Banissement durant lequel nous voulions acquérir enfin un navire permettant d'aller en mer, à l'inverse du foncet. Arles ne semblait pas prête à vouloir nous le fournir, vaille que vaille, nous allions en Italie. Et nos révisions de procès politiues commencèrent en Cours d'Appel Royale, ce qui nous valut un demi tour vers le Royaume de France.

Nous patientions donc à Uzes.

Et là ... Là, Santi nous rendit visite, et nous parlait de prises. Arles ... Alais ... Mais en bon manipulateur qu'il tente d'être, il omis de nous donner plus d'informations, mais il jouait la cordes sensible : la politique, le pouvoir excessif de certains. et Arles revenait de plus en plus souvent. Que penser d'un homme qui parle de prendre une ville, sans même nous assurer du nombre de personnes qui seraient présentes, sans nous dire quelles seraient les raisons de cette prise, sans nous préciser qu'il fait parti d'un parti politique ? Nous ne sommes pas des brigands, et nous n'avons jamais agis à la légère, sans connaissances de tout. Ses missives continuaient d'affluer, et nous, toujours en guerre judiciaire contre le LD, nous commençions à nous poser des questions. Nous apprîmes que nos passages en Provence avait animés les discussions. Pourquoi ? qu'avons nous fait qui permettent cela ? Rien. Seulement une proposition commerciale.

Même si nous ne savons pas tout, le fait de savoir que Santi fait parti d'un parti politique, et je ne sais même plus si c'est le même que le tien, le fait de savoir qu'il est politiquement opposé à Espoirdumarais, et le fait qu'il nous parle d'Arles nous a fait tiqué. Nous partîmes donc pour Arles, lui disant pour quel jour nous serions sur place. A ce moment là, rien n'était encore décidé. Et là, nous prîmes conscience de votre seconde erreur : tout les politiques Provençaux, de ce que j'ai pu aperçevoir, tous, vous n'avez aucune conscience des rouages de la manipulation dont vous pouviez être victimes, mais vous tentez quand même de manipuler les autres. C'est une erreur impardonnable en politique.

Une fois à Arles, nous avons donc pu apprécier à quel point nos propositions n'étaient pas prises au sérieux. Vous ne connaissez pas tout d'un homme, donc il ment, donc il ne peut aider. soit ... mais raisonnement qui peut être lourd de conséquences.
Parrallélement à cela, Santi organisait la révolte, de manière plus précise cette fois-ci. Les seules informations qui nous parvinrent furent : vous ne mangez pas, et vous vous révoltez mercredi. Peut-on décemment à quelqu'un de ne pas manger sans lui transmettre aucune information ? En tout cas, nous faire cela à nous, c'est nous prendre pour des idiots du village, ce qui en toute simplicité, n'est pas le cas. Et cela nous a mis la puce à l'oreille.

En politique, poour comprendre, il faut être à l'écoute de tout. Des discours, des annonces, et de l'humeur du peuple. Sentir le vent ... et là ... nous avions compris. Le projet devait surement être : ils se révoltent, on leur met tout sur les épaules, et nous on ne risque rien. Vaille que vaille. A ce moment là, nous prîmes la décision de nous révolter, et de vous donner à tous une leçon de politesse.

Nous nous révolterons. Nous pensions même que nous serions manipulés à un tel point que nous serions les seuls à nous révolter. Mais les politiques provençaux (dont je ne connais même pas le nom ou l'appartenance politique) ne seraient pas blanchis. Et au cas où, nous prîmes la décision de manger. Santi aurait été obligé de faire patte blanche. A ce moment là, il n'était pour nous pas question de pillage. Juste une leçon. Le pillage, vous le devez à Santi. deuxième leçon de politesse.

Lorsqu'il vit qui était maire, à savoir pas l'un de ses proches, il entra dans une colère Sans Nom. Les insultes et autres grossieretés pleurèrent. Une première fois je lui demandais de se calmer. Peny était perdue dans le bureau du maire, et Santi réclamait un mandat avec l'intégralité de l'inventaire de la mairie. A ce moment là, nous étions prêts à faire un mandat à Santi, et partir sans demander notre reste. Votre propre leçon était prise. Ouvrez les yeux, et cessez de nous prendre pour des imbéciles. Mais Santi continuait d'insulter. Et jamais, j'ai bien dit jamais, je n'ai toléré de qui que se soit que l'on m'insulte, moi ou mes proches, même avec les meilleures des raisons. donc, j'ai fait faire un mandat à Peny, mais au nom de l'un des nôtres. Santi n'aura rien, que ses yeux pour pleurer et sa grand gouaille pour hurler et tenter de se faire passer pour le plus angélique des anges, et vous, vous tous, vous apprendrez à écouter, négocier, et vous réveillez à bon escient.

Au jour d'aujourd'hui, nous ne sommes plus en Arles. Vous le savez. Tout comme j'ai suffisement de jugeotte pour savoir que Santi tentera tout pour faire croire qu'il ne nous connaissais pas, qu'il ne s'est jamais révolté. J'ai en ma possesion 4 courriers prouvant que nous nous connaissions avant notre arrivée à Arles, et prouvant que Santi est bel et bien l'organisateur de cette révolte, ou tout du moins, celui qui orchestrait la partie stratégique. Malheureusement, j'ai perdu les plus anciens.

Vous avez perdu Arles, et ce pour un ensemble de raisons de manque de politesse : les politiciens qui nous ignorèrent lorsque nous parlions avec sincèrité, Santi qui nous prenait pour des sombres imbéciles incapables de voir quoique ce soit.

Je vous souhaite que la leçon a été efficace, si tel était le cas, je gage que la Provence saura comment réagir.

Que le Très Haut vous garde !

Musartine d'Hell.

P.S. : un autre petit détail, les passagers clandestins a but de nous espionner est du plus mauvais effet en matière de politesse ... quelle leçon penses-tu que nous leur donneront ?

Un double de mon courrier? Comment cela se fait?

(JDMuse, publie mes courriers aussi, pour éviter les ambiguïtés. Merci.)