[RP] Gênes nous voilà!

Sujet: Re: [RP] Gênes nous voilà! 16/06/09, 03:01 pm

En entendant Rethy, Magnus laissa échapper sa joie:
-YEAHAAAA!!!
- Rethy! c'est formidable cette nouvelle
Magnus se laissa aller et serra Rethy dans ses bras comme un enfant qui rejoint ses parents après une longue absence.
Oh! pardon Chef! la joie m'emporte

Après tout ce temps, j'étais enfin arrivé à rejoindre l'armée.
Quelle satisfaction de voir tout mon acharnement à rejoindre mes compagnons atteindre enfin son but.

Sujet: Re: [RP] Gênes nous voilà! 16/06/09, 03:16 pm

Un fois l'euphorie de son incorporation passé, l'estomac de Magnus se rappela à son bon souvenir par un gargouillement sonore.

- Mince! je l'avais oublié celui-là
- Bon, je vais tenter de mettre la main sur Frag.
- Mais pourquoi toutes ces tavernes sont-elles fermées?

(impossible d'entrer en taverne, message d'erreur "maintenance ou port 8080 fermé")

- Incroyable!! le sort s'acharne sur moi

Magnus regarda un peu fataliste son dernier sac de maïs et son dernier écu.

Sujet: Re: [RP] Gênes nous voilà! 16/06/09, 03:19 pm

Cher Magnus, nous allons donc pinter avec modération à ton recrutement! Je suis fier d'avoir dans mon équipe un être d'une grande valeur! :bierre:
A ta santé! Valeque!

Pour les tavernes, courage! Elles sont parfois nettoyées! Heureusement d'ailleurs!

Sujet: Re: [RP] Gênes nous voilà! 16/06/09, 09:55 pm

Rapport du chef d'armée génois

j'ai nommé Fragrance officiel au logistic et je l'ai communiqué au CAC.
Elle m'avait dit qui Holwen a fermé le derniere mandat avec des poissons et plus argent qui en avant, signe qui elle a rien comprì comme marche un mandat.
j'espere qui le chagement est possible (on m'avait dit qui non mais il m'acceptè le nom de Fragrance) et qui toutes ces problemes avec la nourritoure soit terminè.
je m'excuse, je tend a donner une possibilitè a chaque un, quelque fois ça marche, quelque fois pas.
Donnez moi la liste de l'argent qui vous avez utilisez pour manger je demenderai au bailli un mandat pour vous donner l'argent en arriere.

Sujet: Re: [RP] Gênes nous voilà! 16/06/09, 10:18 pm

Citation :: j'ai nommé Fragrance officiel au logistic et je l'ai communiqué au CAC.

Apprend la nouvelle et manque s''évanouir.
Se demande comment elle va pouvoir faire pour assurer dans de bonnes conditions ses fonctions tant elle est occupée à parcourir les caves à la recherche de tonneaux de Sangiovese.
Elle n'en oublie par pour autant les raisons qui l'ont conduite en Italie et c'est avec zèle que chaque matin elle renouvelle son engagement aurpsè du chef des armés.
Et oui Santi, dans une guerre, les soldats sont des pions ! Ils laissent à leurs chefs le choix des décisions et évitent de semer la pagaille comme tu sais si bien faire...

Je fais la suite HRP et je m'en excuse mais... il est tard...
Je suis actuellement en déplacement et je vais d'hôtels en hôtels. J'espère que ce soir (mercredi) mon nouvel hôtel aura du wifi car je serai enfin disponible pour la distribution de pain en taverne. Si vous ne me voyez pas en taverne vers 21H30 (je ne serai pas dispo avant) c'est que le wifi et bien... y'en aura pas.
Je redeviens opérationnelle à 100% le 21 juin et j'ai toujours le mandat avec du pain sur moi.

Encore une chose, pour ceux qui comme moi ont intégré l'armée via un poste de soldat, tous les matins je clique sur "mon armée" et suivre Weiss.

Sujet: Re: [RP] Gênes nous voilà! 17/06/09, 11:54 pm

Oyé Oyé!!!
Je suis Magnus Gabao de Toulon et tout le monde dois savoir que
BRODIEMAN
m'a sauvé de la famine en ce jour.
Reçu 2 pains et 6 écus

A tous mes compagnons! tenez bon! cette guerre d'usure ne dois pas entamer notre moral
Notre engagement n'est pas le fait d'un jour ou d'une semaine.
Nous devons rassembler nos forces par la cohésion et l'entraide.
Je renouvelle ma confiance à mes supérieurs Hersende et Rethy.
Qui a dit que la guerre est chose facile!?

Le dévoué Magnus

Sujet: Re: [RP] Gênes nous voilà! 18/06/09, 07:43 am

J'ai eu encore de protestations pour des insultes dans le tavernes de Spezia.
Santiago Riccardo m'avait dit un nom, Benvolio, et j'avait lui demandé (a Benvolio) des explications, j'ai entendu qui Benvolio a encore faite ça chose avec dìautres membres provençales de mon armée et ça n'est pas accetable. En attendant qui lui me reponde de noveau je vous en prie en taverne :
- de dire qui vous faite part de mon armée
- de faire des screens pour les denounces

j'ai écrit a le chef de l'armée pour ce problem, Benvolio est un mebre de mon Ordre et si couèable, j'ai besoin des prouves, il aura un proces en premiere pour n'etre pas conduit comme un chevalier et en second pour les insultes, qui notre code n'accept pas.

Sujet: Re: [RP] Gênes nous voilà! 18/06/09, 10:18 am

J'ai écrit a le chef de l'armée pour Majico.

ecoutez, chez nous il y a la loi martielle, c'est ne pas possible d'aller e venir sans dire rien, qui quitte l'armée a Spezia ou qui vien de la Provence pour la rejoindre est en danger, il faut prevenir le chef des douanes Tanci.
Nous avons un armée a Albenga et une a Genova, si leur chef ne sont prevenu de votre passage et il sont en modalitè aggressive (a Genova c'est probable, mois aussi la j'ai tué quand j'etait la)
Il y a un peu de confusion, cherchez de nous aider, et en plus aussi si vous avez la permission contactè les chefs de les armée sur la route pur etre sure.

Sujet: Re: [RP] Gênes nous voilà! 18/06/09, 11:00 am

Si on y regarde à 2 fois, on voit que c'est juste après le changement de journée que le drame a eu lieu.
Au moment où les déplacements sont exécutés.
fallait pas partir seul sur la route, sans laisser-passer nan! nan! nan!
ça s'appelle "dommage collatéral", il me semble.
Notre groupe manque de discipline de cohésion et surtout de patience, dans une armée chacun ne fait pas ce qu'il veut.

RESTEZ DANS LES RANGS BORDEL !!! ON EST EN GUERRE !!!

Sujet: Re: [RP] Gênes nous voilà! 18/06/09, 01:09 pm

Le camp était calme, s’embourbant dans la monotonie qui précède les attaques. Chacun tentant de s’atteler à une tâche ou une autre en attendant qu’une vienne l’ordre de prendre les armes, ou inversement, de rembarquer son baluchon pour regagner ses pénates.
De loin en loin, des groupes de combattants, hommes et femmes, génois et leurs alliés venus leur prêter main forte. Des feux de camps, autour, les soldats tiraient les cartes ou les dés, buvant la piquette qu’on leur fournissait de temps à autre, ou sortie de leur propre escarcelle. Les chevaux paissaient calmement, dessellés, dans des enclos disséminés dans la prairie. De jeunes écuyers oisifs jouaient aux chevaliers avec leurs congénères aux épées de bois, oublieux de leur devoir, tant ils étaient inoccupés.
Parfois, un rire émergeait de la jeunesse faussement délurée, ou le grognement de l’un des hommes qui venait de perdre sa solde par un tirage défavorable.

Rien n’était plus terrible pour une armée que l’attente.

Yluxe parcourait le camp, pour passer le temps, et tenter de récolter des informations, de ci de là…bien qu’il fût difficile la plupart de temps de communiquer avec les Italiens. Elle arrivait de temps à autre à échanger un sourire ou quelques paroles encourageante, regonflant son moral, au plus bas.

Le ravitaillement de l’armée et la solde promise tardant à venir pour leur petit groupe, certains avaient été contraints de quitter leur poste, et de rentrer en Provence au péril de leur vie.
Le cœur lourd elle avait vu partir leur fille Chacha et elle priait ardemment Aristote de la protéger sur la route du retour.
Un pli annonçant l’attaque d’un de leur compagnon sur la route pour les rejoindre, le laissant pour mort, s’était abattu comme un couperet. Ils cherchaient tous un moyen de lui venir en aide, alors qu’ils étaient souvent très démunis les uns les autres.

Il leur était difficile de garder l’esprit solidaire et uni avec lequel ils étaient partis de Provence. Le manque de pain et l’impression d’inutilité usaient les consciences.
La cianfarano appréciait cependant les missives régulières envoyées par leur chef en Provence, Hersende, et que Weismatten, régulièrement prenne de leur nouvelles, en personne. Yluxe attendait chaque jour sa venue avec espoir. Il prenait souvent le soin de leur indiquer leur position, leur assurant son soutien, tant bien que mal, dans leur langue, puisque peu d’entre eux parlaient le dialecte génois. Elle appréciait cette attention et s’aperçut bientôt qu’elle était vitale à chacun. L’avidité d’informations était ancrée à juste titre dans tous les esprits. On ne faisait pas appel aux provençaux sans aucune contrepartie, et aucun ne voulait suivre le troupeau docilement sans rien comprendre. LA légimité de ce besio nne faisait aucun doute.

Lorsqu’elle se rapprocha de l’endroit où les provençaux avaient installé leur charrette, elle vit Rethy en discussion avec un des chefs et s’escrimait pour leur obtenir du pain.
Vega semonçait les derniers restés…la fougue qui animait leur fils pouvait faire des ravages, espérons qu’il arrive à redynamiser les troupes.

L’ambiance était électrique, on faisait les comptes, les estomacs criaient famine.

Yluxe, épuisée par les nuits à mal dormir, s’allongea toute habillée, sans même quitter son épée, sur la maigre paillasse qui lui servait de lit. Elle tenta de s’abandonner au sommeil, mais peine perdue. Elle se rassit donc près du feu, et son regard se perdit dans les braises ardentes. Un bâton dans sa main s’agitait parmi les flammes. Lorsqu’il s’embrasait, elle soufflait dessus puis reprenait machinalement, la pensée vagabonde, l’estomac gargouillant de faim. Elle ne parvenait pas à faire taire les appels au secours de ses entrailles.

Un peu plus tard, un chariot mené par un âne vint leur livrer, ô joie…Yluxe n ‘en croyait pas tellement c’était beau…du pain ! Et même quelques morceaux de viande séchée et un gros sac de céréales et de raves, qui leur permettrait de faire un somptueux gruau.

Elle se leva aussitôt pour aider le manant à décharger et quelques minutes, plus tard, les yeux brillants
Alors...on se le fait ce festin?
Sans attendre de réponse, elle s’activa, mit une marmite, raviva le feu et assembla le nécessaire pour cuisiner le peu qu’on leur avait apporté. Déjà, elle sentait la chaleur de la soupe dans son gosier.

[[HRP : Personellement, je trouve que l’IG est totalement nul…mais ça ne change pas des RR habituel. C’est clair que c’est très dommage que les persos souffrent de la lourdeur du codage…Pour le RP il ne tient qu’à nous de le faire vivre.
En ce qui concerne les bugs, c’est terrible, mais avec de l’acharnement on arrive à trouver des solutions! Merci à ceux qui se creusent.
Majico si tu as besoin d’aide…n’hésites pas...je n’ai pas grand-chose à t’offrir mais Yluxe aura bien quelques écus à te fournir en dépannage…]]

Sujet: Re: [RP] Gênes nous voilà! 18/06/09, 06:17 pm

vérifiant son bagage, Myrjan aperçoit dans sa besace 4 miches supplémentaires! Réthy était passé par là.
MERCI Réthy!!!!
Myrjan lui fait une grosse bise
Voyant Fragrance passer non loin avec son âne, Myrjan la héla avec toute la grâce qui la caractérisait

Hey, Merci à toi aussi Frag'pour le pain que tu m'as donné hier
Ces deux là sont vraiment précieux pour le moral des troupes!

Que ne fût pas sa surprise de trouver aussi, en plus de sa sardine, un magnifique morceau de viande fumée à l'italienne.
Hummm, festin de roi ce soir!!

Pendant que Myrjan cuvait ses excès de la veille, il y avait eu beaucoup d'agitation autour d'elle.
Pour sa part, elle avait passé une excellente soirée, et n'avait rencontré que des italiens sympathiques, voire...charmants.
L'inactivité ne lui pesait pas trop, ça ne manquait pas d'occupations dans le secteur

Seule ombre au tableau, elle avait ouï parler des mésaventures de Majico. Elle se demandait si elle pouvait être d'une quelconque utilité

Elle se leva péniblement, encore un peu barbouillée, et erra au milieu du campement à la recherche d'occupation utiles

Sujet: Re: [RP] Gênes nous voilà! 18/06/09, 07:02 pm

l'ambiance était un peu morose sur le campement.
Typiquement provençale cette habitude de râler pour tout sans rien faire pour changer quelque chose.

Avis à tous! Fragrance m'a donné la permission de percer un nouveau tonneau ce soir!
Je n'en connais pas le nom de ce vin, mais rien que les fragrances me tournent la tête!!
Amenez vos godets et prenez un petit morceau de sardine!
Allons les Zinzins!! Reveillez vous!!

Sujet: Re: [RP] Gênes nous voilà! 18/06/09, 07:45 pm

Mymy, j'arrive!

Merci pour votre travail Weissmatten!

J'étais en taverne! J'ai parlé l'italien!

Santé!!!!!

Sujet: Re: [RP] Gênes nous voilà! 18/06/09, 10:33 pm

Voilà toute la valeur des provençaux, se dit Magnus.
C'est dans la douleur, la souffrance et l'adversité, qu'ils se rassemblent et se soutiennent pour ne faire qu'un.
Et si l'arrivée de quelques rations a permi d'apaiser les esprits, ce n'est que pour mieux se concentrer sur l'objectif premier.
Alors satisfait de tous ces constats, Magnus se dit que boire une petite lampée ne signifiait en rien qu'il se démobilise.
Cependant, il attendit que quelques uns rentre au campement pour partir à son tour.
"Ha! il est tard qui vais-je trouver à cette heure pour boire un godet?"

Invité

La veille

Il était un jour, d'une semaine, d'un moi de l'année MCDLVII, une personne vint nous annoncé que les génois allaient se faire attaqué.
Majico récupéra son épée et son bouclier, il se revêtit de ses vêtement de combat.

Deux jour avant que les élection municipal se finissent a Brignoles majico partais, abandonnant sa candidature, pour aider les italien. De Brignoles il se rendit a Draguignan de l'argent en poche et un peu de nourriture dans son sac, il ne resta point a Draguignan, il devait faire au plus vite, rejoindre l'Italie étais devenu une obsession,il s'avança sur le nœud savoyard, il trouver 5 écus sous un rocher.

Majico continua sa route, mangeant un morceau de viande provenant de sa besace, puis il leva la tête, son regard s'éclaircit, d'un pas militaire, avec rigueur, d'une démarche droite, propre, sans accroc, il s'avançait vers l'Italie, depuis un ans il n'y avait pas mis les pieds, et il ne préférer repenser a son passer, il rentra dans l'enceinte de la ville et remarqua que cela avait beaucoup changer, il lui rester pas plus de trois mots d'italien dans sa langue, mais arrivait a le comprendre dans le sens générale.

Sur place majico alla se procurer un parchemin sur le quelle on pouvais lire le mot en Français et en Italien. il alla donc voir des gens a droite et a gauche, leurs demandant s'ils avaient des renseignements sur la guerre. Les deux premiers jour Majico n'obtînt point de réponse. il pris donc un parchemin écrivis, il arma son pigeon de se lourd document et l'envoya en direction de Dona Hersende, le pigeon s'envola pris de l'altitude puis passant au derrière la mince forer majico le perdis de vu. Majico n'aimer guerre cette situation pour lui la guerre n'était pas un jeu, alors que les Italiens qu'il rentrer se moquer de lui, l'insulter quand il disait qu'il était volontaire pour la guerre, des personnes lui conseiller même de rentrer chez lui au plus vite.

Majico ne revu plus son pigeon, il ne devait pas avoir eu le temps de rejoindre Hersende lui apporter son courrier. quelque jours se passerai, majico rencontra des gens, ceux si lui demanda de contacter une personne, majico le fit mais aucune réponse ne lui revins, son rapace, pourtant, avait bien porter le message, il contacter de temps en temps des gens, il envoyer des courriers, sans réponse, majico se préparer alors c'est bagage, puis il rencontra en taverne une personne venu de provence, lui affirmant que les autres volontaire serai la le lundi qui suis, majico avait enfin eu des nouvelles après trois semaine dans l'attente incertaine.

le Lundi majico ne vit personne, il attrapa une forte fièvre qui le bloquer dans c'est action, le temps qu'il passer dans son lit était incroyable, quand il ne dormais pas, il marchait, n'ayant a nouveau plus nouvelle du groupe, puis d'un coup la fièvre tomba, il décida alors d'écrire un message pour Hersende lequel serai apporter par son rapace, il obtint enfin des information concrète, son faucon revenu.

Majico se dirigea donc le plus rapidement possible vers la Spezia, en fouillant son sac il s'aperçut d'une besace, remplis d'un morceau de cuir de 32 écu et de miche de pain, majico mangea c'est miche, et acheta d'autre nourriture.

Deux jours après majico était a gêne, il s'en voulait énormément de ne pas être avec le groupe, il avait peur que celui si se fasse attaquer et de ne pas pouvoir défendre avec les autres, majico finissait par dépasser gêne, se retrouvant à Chiavari, tout le monde était au courant qu'il arrivait a la Spezia dans la nuit.
La nuit venu majico aperçut enfin La spezia, de loin il aperçut un groupe de garde, faisant leurs ronde de façons irrégulière, et discutant entre eux, majico s'avançait, il entendit quelque bruit et dans la nuit crut reconnaitre un loups, celui si parti, majico se demandait se qu'il se passait, rangeant son épée il se dépêcha de marcher, c'est au beau milieux de la foret que majico tomba nez a nez avec l'armer, majico voyant ceux si s'avançaient, de façon dangereuse il leur cria son nom, ceux si l'entourères complètement, majico sorti son épée, il savait que s étaient l'armer de la spezia, ceux si devait le prendre pour un espion...

NON je suis Majico, NE M'ATTAQUER PAS, JE SUIS AVEC... AHHHHHHHHH

Majico n'eut pas le temps dans dire plus.sous le nombre il se retrouva très vite par terre, rouer de coup, les mains crisper le visage plus blanc que jamais, les soldats donnères tous de leur coup d'épée ou de bâton majico se recroquevilla sur lui même, tombant comas pour quelque heures, majico, se réveilla plus tard, non pas sans douleur, ne se souvenant plus de rien, puis essayant de se levée, il se rappela alors cette fait attaquer, pris pour cible par les personnes qu'il venait aider, majico s'aperçut qu'il ne pouvait plus marcher, temps la douleur était immense, il regarda autour de lui, se demandant si il étais fou, dans son état il n'avait plus se déplacer pour revenir a quelque dizaine de mettre des portes de la villes, a coter de lui se trouvais une vielle charrette, il sorti son couteau et tailla le bois, se faisant un tabouret et se servant des roues de la charrette il se hissa dessus et récupéra c'est affaire, il siffla son faucon, qui était restait a Chiavari, une fois dans la ville il soigner la plus part de c'est blessure, épongeant le sang qui coule et cautérisant ses plaie avec un bout de son épée qu'il mettais dans le feu pour rougir.

Invité

Alors que la nuit était déjà bien avancée, une ombre était assise sur les remparts, fixan les lumières que dégageaient les armées ennemies au loin .
Il pensait comme d'habitude à la noirceur de son âme, de son devenir, allait-il enfin se libérer de son enveloppe corporelle cette nuit ? seul le seigneur connaissait la réponse mais une chose était sûre, s'il devait mourir cette nuit il le ferait épée en main .
Force et vigueur, le cri de guerre des Cianfarano qui résume bien la fierté provençale dans son ensemble, l'honneur étant tellement important pour tous ces volontaires qui mettraient leur vie en jeu pour les Génois, puis il pensa à Majico, un frère d'armes tombé sous les lames alliées, un frère d'armes qui aurait voulu se battre à leurs coté autant que tous auraient voulu se battre à ses cotés.
Vega se leva pour se diriger vers le campement, s'il devait se battre il devait être en pleine forme, il ne dormira pas cette nuit, il le sait mais le fait de s'assoir auprès de ses amis suffit à remonter le moral, boire un coup avec toutes ces femmes et tous ces hommes courageux ne fait que motiver les troupes .
Il arriva au campement après avoir traversé celui des Génois, très chaleureux ces Génois! Certains Provencaux devraient prendre exemple sur eux, il salua ses compagnons avant de s'assoir dans le cercle, il déboucha une bouteille pour la partager ...

Il se releva au bout de la troisieme tournée pour prendre la parole

Mes amis !!! Je suis un homme heureux, oui heureux de voir que la Provence a des valeurs, du courage et de la solidarité.
Je suis fier car la Provence a de l'honneur, et cet honneur c'est vous mes amis !!!
J'aimerais porter un toast à Majico et lui souhaiter un bon rétablissement

Et n'oubliez pas que ce soit en amitié ou armée "NOUS SOMMES UNE UNITE COMPACTE ET IMPENETRABLE , C'EST A CA QUE L'ON DOIT NOTRE FORCE !!!

VIVE LA PROVENCE LIBRE ET INDEPENDANTE !!!!!!!!!!!!!!

Vega trinqua, le verre bien en vue de tout le monde

Invité

Majico avait passer une journée a penser c'est plaie comme il l'avais fait le jour précédant, en taverne il a rencontrer Chacha et Perperine, comme hier, sauf que se jour si il était la en taverne a la même table tout les trois, un italien était venu, un très gentil homme, cela changé Majico des "idiots" perpétuel qui se moque allègrement des volontaires parti au péril de leurs vie. Tous devant leurs choppes essayer de parler, l'italien s'était donnais la peine de parler français, les trois provençaux alors essayère du mieux qu'il peuvent de lui parlais dans sa langue, quelque chopine de bière vinrent égayer le tout ainsi tout allais de bon train.

Puis bien plus tard après que l'italien passa la porte, Chacha alla dormir, suivie de Perperine, Majico se retrouver seul, avec c'est blessure, sa chaise charrette, il savait que Chacha et Perperine partirais le lendemain, mais les routes étais trop boueuse pour espérer partir avec, ne pouvant pas marcher. majico savais que le temps passerais avant qu'il ne soit rétablie. Majico peiner a respirer, mais cela ne l'empêcher pas d'engloutir sa choppe de bière d'une traite, action qui était bien plus importante que la vie elle même.

Majico ne pouvais pas dormir, il faisait froid, malgré le feu dans sa tente, majico était allonger dans une position inconfortable, lui évitant d'avoir trop mal, a par quelque rhumatisme, il essayer de s'endormir, attendait que la fatigue soit si forte quelle l'emmène dans le sommeil. c'est blessure était profonde et depuis 2 jour aucune coupure ne c'était refermer, son corps lutait avec acharnement, en bras foulait un main et une jambe casser, sans parlais de 3 ou 4 cote fracturer, le pied trouer par une lame d'épée, le cou ne pouvant plus bouger sans que Majico hurle a la mort. heureusement qu'il avait pris l'habitude de porter son casque, celui ci avais était salement amocher, comme son maitre, majico avait cautériser la parti visible des plaie grâce a un fers rouges, mais cela ne se refermer pas pour autant. alors il avait placer ses vêtement déchirer, afin de servir de compresse. celui si avait manger de pain frais acheter au marcher, mais il ne pourrait pas s'offrir cela longtemps fautes d'argent, et devrai finir de manger le pain sec, rassis, mais vital. le samedi a son réveille, majico regarda c'est blessures, celle si c'était remis a saigner, l'oppressant dans une douleurs immonde, son faucon apporter un courrier, sur celui si était marquer que des provençaux était peut être mort, voir blessé, il l'essaie échapper des larmes de colère, n'arrivant plus a lire, puis il sécha c'est yeux, oubliant la douleur quelque instant il parcourut la lettre a la recherche d'un nom, puis "Vivivivi" apparut puis d'autre nom, majico était bouche béant, reportant sa colère sur lui, puis sur les italiens.

Sujet: Re: [RP] Gênes nous voilà! 20/06/09, 02:54 pm

Veuillez d'abord me permettre de présenter toute mes amitiés à Vivivivi, Seli et à Pproc. Nous nous devons de les prendre en exemple, eux qui n'ont pas eu peur d'aller au combat, comprenant ainsi dans leur chair la notion de "Défense d'une Provence Libre et Indépendante".

J'aimerais beaucoup qu'ils soient tous les trois récompensés pour leur bravoure: au conseil Comtal de faire le nécessaire.

Voici mon rapport du jour 20-06-2009 04:15 : Vous avez été attaqué par l'armée "Draghi Neri Dell'Apocalisse" dirigée par Scilaii, l'armée "Quarantia" dirigée par Swantz, et l'armée "Serenissima Armata" dirigée par Athinodoros.
20-06-2009 04:15 : Vous avez été attaqué par l'armée "Serenissima Armata" dirigée par Athinodoros, l'armée "Draghi Neri Dell'Apocalisse" dirigée par Scilaii, et l'armée "Quarantia" dirigée par Swantz.

Il est remarquable de constater que nous nous sommes plus que bien défendus. J'ai entendu parler aussi de la terreur qu'inspire Fragrance dans les rangs de nos chiens d'ennemis! J'en suis heureux!

Ma lance se compose désormais de quatre personnes...
Damemyrjan -
Caillinette -
Magnusgabao
Rethy.

Avez-vous des nouvelles de Vitruvio?

Enfin, je suis bien évidemment l'armée de Fascista. Cette personne sera héroïque, comme l'est notre Camarade Weissmatten.

Invité

Je demande pardon au Très Haut pour tout le mal que j'ai pu faire...

ptain...la honte...

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