Question sur l'économie

Et bien ... si ce n'était que des brigands, qui ne faisaient que piller ... oui, je suppose que nous les poursuivrions pour reprendre notre bien.

Pourquoi ? Parce que tous se retourneraient contre eux, parce qu'ils ne feraient que détourner les biens de tous à leur seul profit.

Ici ... tel ne semble pas être le cas. Je l'ai dit, nous professons tous aimer cette terre de Provence et vouloir y vivre.

La seule chose qu'ils semblent vouloir est une autre manière de faire les choses ensemble.

Elle peut être bonne, ou non. Je ne juge pas de cela.

Leur position peut être légitime, ou non. Je ne juge pas de cela.

Oui, il y a de la place pour la négociation.

Oui, nous avons plus à perdre, tous, d'une situation conflictuelle qui perdure.

Et nous avons tout à gagner à mettre fin aux germes du conflit plutôt qu'à y donner une fin brutale pour le voir ressurgir plus tard.

Au risque de vous choquer ... même si c'était une bande de bandits qui voudraient rester, je négocierais. Je parlerais de rendre ce qui a été pris. Je parlerais de réparer ce qui a été brisé. Sans aucun doute. Mais je parlerais aussi de la manière dont ils vivraient avec nous, de telle sorte qu'ils puissent participer à cette Provence, et comment, avec nous.

Pourquoi ? Parce qu'ils sont là, et nous aussi, et qu'au regard de Dieu, nous sommes tous frères, et qu'au regard de la Terre, nous sommes tous de passage.

Usurpent-ils leurs pouvoirs ? Oui, sans aucune doute, selon la vision d'une des parties. Et, selon la leur, ils sont légitimes et notre action est rebelle.

Vous ne pourrez nier le rapport de force, quels que soient les arguments qui le sous-tendent.

Nous pouvons décider de nous battre jusqu'au bout ... et nous finirons exangues, tous. Car aucun n'admettra sa défaite. Les vaincus reviendront, sans cesse, que ce soient eux, ou nous.

Notre position est en force. Formidable. Et pour combien de temps ?

Combien de gardes maintiendrons-nous dans nos châteaux et nos mairies ?

Quel coût cela aura-t-il pour nous d'imposer une idée contre une autre ?


Ou nous pouvons négocier la manière dont nous allons vivre ensemble.

Je ne crois pas que nous oublierons ... et je ne vois pas pourquoi nous ne parlerions pas de la réparation due pour cela lors de négociations.

Et si ce conflit se termine dans la violence ... du sang provençal coulera.

Et après ? Nous n'aurons fait que gagner la guerre.

Aura-t-on gagné la paix ?

ref1 a écrit:

Ils ne les ont pas fait venir.

ah bon ils on reconnus que ses armes étai la pour les aider non? 8-)

Pour le calif pas de question il me semble, non ?

le mieux c'est d'aller crier au secrétariat

alex0159 a écrit:

Pour le calif pas de question il me semble, non ?

le mieux c'est d'aller crier au secrétariat :p

s est kal petit lâche bah la vie t a pas gâter en plus d être la lâchter elle même tu sait pas (lire) :arf:

Citation :

L'appel du sang donc, et de la violence.
Excellente démonstration de ce que j'expliquais.
Vous oubliez juste la justice là dedans.
Procès, entre autre.

Châtiment n'est pas violence, ça n'est précisément que justice.
On l'applique sans haîne aucune et sans arrière pensée. C'est juste la règle du jeu.
Procès, il y aura sans doute. Les témoins à charge ne vont pas manquer.

Violent mais amical.
Ne dit-on pas "qui aime bien châtie bien" ? ;)

La position (je devrais dire LES positions) de messire Alex m'interpellent aussi, il est vrai.
D'abord prêt à aider Lila à développer son armée, voici qu'on le retrouve dans le camp opposé parlant comme s'il avait participé lui-même à ce coup d'état. Or, il n'en fut rien puisqu'il était en Arles à ce moment et qu'on a même d'abord cru qu'il montait avec sa lance à la reprise du château.
Va-t-il à nouveau tourner sa veste au prochain revers ?

voila les armes ennemis son liquider
daemon vous ete foutu :lol: